Mardi 1er juin 2021

En évitant le piège que lui tendaient les pharisiens et les hérodiens, Jésus leur disait: « rendez à César ce qui est à César; et à Dieu ce qui est à Dieu ». Avec cette affirmation, il ne met pas César au même rang que Dieu. Il nous recommande simplement d’accomplir aussi bien nos devoirs politiques que ceux envers Dieu. Mais, en subordonnant les premiers à la Volonté de Dieu, qui seul, mérite l’adoration.

 

Seigneur Jésus, tout en affirmant la primauté de Dieu, tu reconnais pourtant l’autonomie des réalités terrestres, donne-nous la grâce d’éviter le piège qui nous est tendu tous les jours, celui de mettre les créatures à la première place au lieu d’aimer et d’adorer de tout notre cœur, la Trinité Sainte, le Dieu unique, créateur et Sauveur (Mc 12, 13-17).