La Bible chantée au balcon (8)

Le Trio GPS a associé leur chant à l’icône de  » Lannonce du Royaume de Dieu » écrite par le diacre belge Jacques BIHIN . Il commente cette icône originale dans une petite vidéo priante que nous vous partageons bien volontiers : https://www.youtube.com/watch?v=o0vk-Nu-r7k

 

Invités par ce temps de crise à poser un regard « guérisseur » sur l’autre et sur le monde, le Trio GPS vous redit leur profonde communion

Les cultes travaillent au déroulement des célébrations « déconfinées »

Les cultes reconnus de notre pays se préparent à une reprise des célébrations dans les églises, les temples, les mosquées et les synagogues. À la demande du Gouvernement fédéral, ils élaborent actuellement un protocole reprenant en détail la manière dont les célébrations pourront se dérouler ainsi que les mesures de protection à appliquer pour prévenir autant que possible une infection par le coronavirus.
Aujourd’hui, les Evêques de Belgique ont achevé la préparation du protocole des catholiques. Ce dernier a été rédigé en collaboration avec des experts virologues et sera soumis au Conseil national de Sécurité pour avis et approbation.
De multiples demandes parviennent aux Evêques demandant la reprise des célébrations publiques. Ils s’en sont fait les interprètes auprès des autorités civiles et des experts qui conseillent le Gouvernement. Tous sont conscients de la priorité absolue que constituent la santé et la sécurité de ceux qui entrent dans une église.
Les Evêques sont heureux d’apprendre que le nombre de personnes présentes lors de funérailles ou d’un mariage pourra être porté à 30, dès ce 18 mai 2020.
Pour la Région Wallonne, les Gouverneurs de Province étudient la possibilité de permettre à nouveau la célébration des funérailles, sans eucharistie, dans l’église.
En ce qui concerne les baptêmes, les Evêques préfèrent aligner la date de leur reprise sur celle des célébrations eucharistiques dont ils espèrent le redémarrage le plus rapide possible.

Les Evêques de Belgique
14 05 2020

Prions ensemble comme frères pour la libération de toutes les pandémies

Lors de la messe à Sainte-Marthe, le Pape François est revenu sur la Journée de prière promue par le Haut-Comité pour la Fraternité humaine qui demande au Seigneur la fin de la pandémie de Covid-19. Dans l’homélie, il a rappelé qu’il y a d’autres pandémies qui provoquent des millions de morts comme celles de la faim et de la guerre, et a invité à demander à Dieu qu’Il nous bénisse et ait pitié de nous.

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Ce jeudi 14 mai, jour de jeûne et de prière pour surmonter la pandémie

Le pape François a demandé que la journée de ce jeudi 14 mai soit une Journée de prière, de jeûne et de solidarité pour implorer l’aide divine afin que l’humanité surmonte la pandémie causée par le coronavirus. Mgr Pierre Warin souhaite qu’un maximum de personnes répondent à cet appel.

Le Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux donne quelques précisions sur la manière de vivre cette journée née à l’initiative du pape François et du Haut Comité pour la Fraternité Humaine.

Cette journée ne prévoit aucune manifestation commune publique afin de prévenir le risque de contagion. Elle sera toutefois vécue par tout un chacun selon l’intériorité qui lui est propre, sous le regard de Dieu et de sa propre conscience. Unis par les valeurs universelles de la prière, du jeûne et des œuvres de charité, nous vivrons ensemble ‘un témoignage de la grandeur de la foi en Dieu qui unit les cœurs divisés et élève l’esprit humain’ (cf. Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune). Notre temps n’est pas celui de l’indifférence, de l’égoïsme et des divisons, car le monde entier souffre et tous doivent se retrouver unis pour affronter la pandémie” (cf. pape François, Message Urbi et Orbi pour Pâques, 12 avril 2020).

Les Évêques de Belgique ont exprimé leur souhait de pouvoir reprendre les célébrations liturgiques publiques au plus vite, dans le respect des normes sanitaires et le dialogue est en court avec le gouvernement en prévoyant toutes les règles de sécurité sanitaires. Cependant, aucune date n’a encore été annoncée par le Gouvernement Fédéral. Nous sommes donc invités à la patience, nourrie de foi et d’espérance. La reprise des célébrations paroissiales viendra.  Voici déjà quelques dates et informations concernant la reprise au niveau diocésain. Continuer la lecture

Chrétiens, n’ayons pas peur !

Dans un article publié le 5 mai, le Journal  » La Vie  » invite les chrétiens a ne pas avoir peur car face à la mort et l’épreuve, il faut plus que jamais annoncer l’Évangile.
Le Covid-19 a provoqué une véritable dissolution religieuse. Travailler, se nourrir, faire du sport et prendre soin de ses proches : voilà les besoins essentiels reconnus par notre société et qui justifient des exceptions au confinement. A contrario, il semble évident que, quand il s’agit de prier, toute prise de risque est irresponsable. Alors que les lieux de culte sont parfois fermés et que les aumôniers bataillent pour rester présents dans les établissements de santé, la situation provoque des questionnements spirituels demeurant sans réponse. Cette situation nous invite à relever deux défis :
– celui de la tentation de vivre comme reclus au Cénacle ;
– celui de la peur.

Pour lire l’article de  » La Vie « , Cliquez ici

Les cloches de Gembloux sonnent pour le personnel soignant … et les autres (9 mai)

Samedi 9 mai. La grosse cloche sonnera ce soir.

Quelques mots aujourd’hui sur un édifice emblématique du centre : la Maison du Bailli.

Ses origines sont anciennes. Ses caves sont datées des XII-XIIIe s. La majeure partie de la maison date du XVIe s. On peut lire la date de 1589 sur la clé de voûte de la porte est, à côté de la tour. A l’ouest, l’édifice fut agrandi d’une travée. On y ajouta une seconde tour dans les années 1930. Le bâtiment a subi d’autres modifications visibles sur ses façades qui présentent des baies bouchées et des matériaux différents.

Contrairement à ce que son appellation laisse croire, il ne semble pas que la maison ait hébergé le bailli de Gembloux, chargé par l’abbé d’administrer la ville. Elle doit plutôt son nom au fait qu’un de ses anciens propriétaires fut bailli de Grand-Leez.

La Maison du Bailli fut acquise par la commune en 1951 et restaurée pour l’affecter à des fonctions publiques. D’importantes dépendances plus récentes ont depuis été démolies.

La Maison du Bailli abrite aujourd’hui la salle des mariages au rez-de-chaussée et héberge le Cercle royal ‘Art et Histoire’ aux 1er et 2e étages avec les musées de la coutellerie et de la vie locale.

Ce mercredi 6 mai, le conseil communal a décidé de désigner un auteur de projet pour entreprendre des travaux de rafraîchissement et de restauration internes.

Illustrations : Cartes postales – article Manu Delsaute